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La Poche Secrète - by Peggy Janicki (Hardcover)
About this item
Highlights
- ★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention.
- 6-8 Years
- 10.9" x 9.0" Hardcover
- 32 Pages
- Juvenile Nonfiction, People & Places
Description
About the Book
Cet album raconte l'histoire vraie d'un groupe de jeunes filles résilientes d'un pensionnat pour Autochtones qui ont eu l'idée de munir leurs uniformes de poches secrètes pour y cacher de la nourriture.Book Synopsis
★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention. [...] Ce récit inspiré d'une période tragique de l'histoire a été adapté pour les jeunes par une équipe de créateurs autochtones. » Critique étoilée parue dans le School Library Journal
Voici l'histoire vraie de jeunes filles d'un pensionnat pour Autochtones qui ont cousu des poches secrètes dans leurs robes pour cacher de la nourriture afin de ne pas mourir de faim.
Mary avait quatre ans lorsqu'on l'a emmenée pour la première fois au pensionnat pour Autochtones de Lejac, bien loin de sa maison et de sa famille. Toujours affamées et frigorifiées, la jeune Mary et les autres filles vivaient sans confort. On leur interdisait de parler leur langue, le dakelh. De plus, les religieuses et le prêtre les surveillaient constamment, prêts à les punir. Mary et les autres filles ont eu une idée de génie: s'inspirant des connaissances de leurs mères, de leurs tantes et de leurs grands-mères, qui étaient toutes des couturières très habiles, les filles ont cousu des poches dans leurs vêtements pour y dissimuler de la nourriture. Elles rassemblaient des bouts de tissu en cachette et cousaient la nuit, puis elles cachaient des pommes, des carottes et des morceaux de pain dans leurs poches secrètes pour les partager avec les pensionnaires plus jeunes.
L'autrice s'est inspirée de l'expérience de sa mère dans un pensionnat pour Autochtones pour écrire La poche secrète, une histoire de survie et de résilience dans un contexte de génocide et de cruauté. Ce livre est aussi une façon de célébrer la résistance silencieuse à l'injustice des pensionnats et la façon dont les connaissances en couture transmises de mère en fille ont donné un avenir à ces jeunes Autochtones, un point de couture à la fois.
Également disponible sous le titre The Secret Pocket en anglais.
From the Back Cover
Nous avons mis bien plus que de la nourriture dans nos poches, nous les avons remplies de notre avenir. Mary avait quatre ans lorsqu'on l'a emmenée au pensionnat pour Autochtones de Lejac, loin de sa maison et de sa famille. Elle avait toujours faim et froid. On interdisait aux enfants de parler leur langue, le dakelh. De plus, les soeurs et le prêtre les surveillaient constamment, prêts à les punir. Un jour, Mary et les autres filles ont eu une idée de génie: s'inspirant des connaissances transmises par leurs mères, leurs tantes et leurs grands-mères, les filles ont cousu des poches dans leurs vêtements pour y dissimuler de la nourriture. En travaillant ensemble, Mary et ses amies se battaient pour leur avenir, un point de couture à la fois.Review Quotes
« Bien que le récit soit chargé d'émotion, les jeunes lecteurs en retiennent un rappel édifiant de la puissance et de la détermination des peuples autochtones. [... ] Un hommage émouvant à la survie des enfants autochtones dans le système des pensionnats pour Autochtones.»-- "Kirkus Reviews"
« Cette histoire captivante et importante est fortement recommandée pour la maison et les bibliothèques publiques et scolaires. »-- "Quill & Quire"
« Des dessins simples et expressifs. [...] Un album émouvant. »-- "Booklist"
"A powerful example of Indigenous resistance, brilliance, and intergenerational healing. The story illuminates that resilience is rooted in language, culture, and relationships. The Secret Pocket is suitable as a read-aloud for elementary students and as a critical thinking resource for secondary and intermediate students."
-- "Indigenous Books for Schools"« La tristesse comme la joie transpirent des illustrations et se marient parfaitement au texte. [...] Ce livre sera un ajout important à toute bibliothèque. [...] Une histoire merveilleuse pour les jeunes matures qui veulent commencer à parler de l'histoire des pensionnats. Chaudement recommandé. »-- "CM: Canadian Review of Materials, le 17 avril 2023"
★"Captures the sympathy of readers and holds their attention...An age-appropriate telling by an Indigenous creative team of a tragic historical period."
-- "School Library Journal, starred review"★« Le livre attire la sympathie des lecteurs et retient leur attention. [...] Ce récit d'une période tragique de l'histoire a été adapté pour les jeunes par une équipe de créateurs autochtones. »
-- "Critique étoilée parue dans le School Library Journal""An engaging and important story, this book is highly recommended for home, public, and school libraries."
-- "Quill & Quire""Both sadness and joy are accessible within the illustrations and partner perfectly with the prose...An important addition to any bookshelf...A wonderful story for mature youngsters to engage with to begin talking about the history of residential schools. Highly Recommended."
-- "CM: Canadian Review of Materials""Simply drawn, expressive...A moving picture book."
-- "Booklist""Though the tale is emotionally fraught, young readers are left with an uplifting reminder about the power and resolve of Indigenous people...A moving tribute to Native children's survival in the residential school system."
-- "Kirkus Reviews"About the Author
Peggy Janicki est une enseignante Dakelh qui fait partie de la Première Nation Nak'azdli Whut'en. Lauréate de plusieurs prix, elle est titulaire d'une maîtrise en éducation, spécialisée en pédagogie et savoirs autochtones de l'Université de la Colombie-Britannique (UBC). Elle a travaillé pendant des dizaines d'années pour mettre au jour les histoires et les récits cachés des peuples autochtones, dont on peut avoir un aperçu dans le cours en ligne ouvert à tous (CLOT) de l'UBC sur la réconciliation grâce aux enseignements des Autochtones intitulé « Reconciliation through Indigenous Education ». Lorsque sa mère lui a raconté une histoire qui a changé toutes leurs vies et a mis en relief les conséquences de la colonisation, Peggy est aussi devenue conteuse. Elle vit à Chilliwack, en Colombie-Britannique.
L'artiste Carrielynn Victor habite dans l'est de la vallée du Fraser. Elle compte parmi ses ancêtres des Autochtones Salish du littoral établis sur le territoire S'ólh Téméxw (leurs terres) depuis des temps immémoriaux et des Européens occidentaux qui se sont installés dans le nord de l'Île de la Tortue dès le XVIIe siècle. En plus d'avoir son atelier d'artiste, Carrielynn joue un rôle dans la communauté à titre d'herboriste et de directrice de l'Environmental Consultancy de la Première Nation Cheam. La philosophie et les responsabilités de ces fonctions communautaires ancrées dans le territoire sont essentielles pour donner corps au récit, au style et aux détails de son travail artistique. En combinant des pratiques ancestrales et modernes, Carrielynn crée des oeuvres d'art qui prennent la forme de murales, de peintures sur toile, de tambours, de rames et, depuis quelques années, d'illustrations pour des rapports scientifiques et des livres pour enfants. Elle vit à Chilliwack, en Colombie-Britannique.